Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du avril, 2017

L'amour à porté de main

Vous m'avez tué une première fois en me prenant mon coeur. Vous me l'avez volé. Mais le pire c'est que vous m'avez tué une deuxième fois en me la brisant. Oui vous avez brisé mon coeur. Qui aurait pu croire que l'amour puisse tuer un homme deux fois et ceci sans pitié. J'avais votre amour à ma portée mais je n'ai pas su la retenir. Je sais que je ne vous ai pas donné toute l'attention dont vous méritiez et pour cela je m'en excuse même si vous êtes maintenant dans les bras d'un autre. Je n'ai plus votre amour à porté de main, c'est ce bourgeois qui l'a dorénavant   -Yano Virieux-

Une réflexion sur les arbres

Qu'est qu'un arbre? L'arbre est tout et rien. C'est lui qui produit l'oxygène afin qui les humains puissent respirer. C'est lui qui fournit un abri aux oiseaux. C'est lui qui donne aux hommes et à certains animaux des fruits. non seulement ils contribuent à l'écosystème, mais aussi à la survie de la race humaine. C'est lui que les hommes découpent pour construire leur maison, pour embellir leur maison avec de beaux meubles en bois. Qui aurait pensé qu'une toute petite graine puisse un jour devenir un bel arbre verdoyant et le lendemain devenir des planches de constructions, des tables ou des chaises. La vie est surprenante. L'évolution fait que les arbres diminuent continuellement et ceci est la cause des changements climatiques autour de la planète bleue. Les arbres sont bien plus importantes que ce qu'on croyait. Sans eux, tout ce qui est ne serait plus que souvenirs. Y.Virieux

La pluie comme souvenir

Debout sous la fenêtre de votre chambre, Je ressentais les gouttes de pluie qui me tombaient dessus. Elles se posaient sur mon corps et s’écoulaient tout le long comme le faisaient vos mains, Vos mains qui sont douces comme les gouttes d’eau pure venant du ciel. Je les ressentais dans mes cheveux, et chaque goutte qui y tombaient était comme vos doigts qui les caressaient. Tout mon corps était trempé par cette eau froide.  Je n’avais pas froid parce que tout ce qui me venait à l’esprit, c’était le souvenir de la première fois qu’on s’était embrassés. Tout en s’accrochant l’un à l’autre, les gouttes de pluie nous tombaient dessus tout comme la rosée tombe tous les matins sur les fleurs. La grenouille qui nous avait observée ce jour-là était ici. Me regardant ayant l’air de se demander pourquoi je ne suis pas avec vous, ma tendre et chère bien-aimée. Le petit mitron qui nous avait vu lui aussi ce jour-là passait par là et en me voyant triste il me dit qu’