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Et si...

L'existence et l'évolution ; deux mots qui donnent sens à notre présence sur terre. Tout ce que l'on est et tout ce que l'on perçoit autour de nous a été formé à partir de multiples circonstances entremêlées les unes aux autres. Ce que l'on ne se demande pas assez souvent, c'est à quel point la réalité est-elle influençable ? Seule deux mots suffisent : Et si Et si un simple sourire pouvait faire ressentir toute la tristesse de l'humanité ? Et si une troisième guerre mondiale pouvait sauver la terre? Et si l'homosexualité était synonyme d'évolution ? Et si l'obésité était le sors que l'évolution réservait aux hommes ? Et si devenir féministe aidait à promouvoir l'égalité ? Et si en arrêtant de fumer cette cigarette, vous pouviez préserver les générations futures ? Et si en lisant ceci, vous pouviez changer le monde ? L'important n'est pas seulement de se demander ce qu'il se passerait si. Il est question
Articles récents

La régate de Mahébourg

En ce samedi matin, ils étaient remplis les autobus qui se dirigeaient vers Mahébourg, un village au sud-est de l'île Maurice. Nommé après Mahé de La Bourdonnais, l'endroit fourmillait de gens.  On y respirait l'air frais de la mer, qui chatouillait bien les narines. Les marchands de "merveilles" étaient déjà installés sur la grande place, juste à côté de la gare d'autobus, d'où on avait une vue imprenable sur l'océan. D'autres, avaient débarqué leurs marchandises sous les arbres appelés " la fourche" et qui donnaient une zone d'ombre pouvant protéger presque une centaine de personne des rayons de soleil. Près de la statue géante de Bouddha, sur l'herbe verdoyante, les gens y ont déposés leurs affaires et se sont assis à même le sol. Aucune honte à avoir à manger son "roti chaud" assis par terre. C'est cette même terre qui unie toutes  ces personnes en tant que mauricien, mauricienne. Tout ce beau monde,

Regard sur la vie de la Mauricienne

Il était deux heures avant l'aube. Le soleil était encore loin de se montrer. On ne pouvait rien encore voir. La maison de Mme Joceline se trouvait au bordure d'une route où il n'y avait aucune lumière. C'est la même route q'empruntent les laboureurs pour se rendre ''dan caro kann''(aux champs de canne à sucre). Pour beaucoup, il était encore trop tôt, mais Mme Joceline avait un autre approche. Elle se rends aux champs chaque matin avant même que le soleil se lève pour ainsi éviter les coups de soleil et la chaleur ardente de la journée. Sa pioche et son sabre accrochés sur son dos, elle se rend dans les champs et s'occupe de la partie qu'on lui a confié pour cette récolte. Une lampe à pétrole dans la main, elle emprunta le ''sémin kann''( chemin) sombre et étroit qui menait aux champs de cane. Au long du chemin, la vue était presque nulle et l'on entendait rien à part le bruit du vent qui se faufilait dans les feuil

Une vie de chien

Le soleil projetait des vagues de chaleur insupportable sur cette petite île de l'océan Indien. On pourrait se croire au milieu du Sahara, mais les arbres et le bruit des vagues trahissent cette impression.Les anciens disaient souvent que par une telle chaleur, on pourrait même cuire un œuf sur la tête d'un chauve. Mais, ceux qui n'avaient rien à se plaindre était nos amis canidés. Ils avaient de la chance ceux là. Ils n'ont aucun souci à se faire, aucun travail à accomplir, sauf peut-être Darryl, le chien policier qui faisait sa ronde habituelle avec son maître. Pour se rendre à la seule boutique des environs, les gens devaient marché en plein soleil, car sous la véranda, tout une meute de chiens avait pris territoire. Que ce soit des petits ou des gros, tous étaient là, assis calmement, avec la langue qui pendouillait. Personne ne cherchait à les déranger. Certains se disaient qu'eux aussi méritaient une place à l'ombre, et d'autres étaient trop

Cheminement vers la sagesse

Le soleil venait de se lever sur ce petit bout de terre que l'on appelle île Maurice. C'était l'aube d'une nouvelle vie, d'un nouveau départ .   De parents séparés, le petit Démé n'a jamais vu sa mère, puisqu'il vivait avec sa grand-mère. Ne s'attendant à rien de spécial, Démé s'est réveillé comme tout les matins pour l'école. À l'heure du déjeuner, alors qu'il jouait avec ses amis, sa maîtresse vint l'appeler. C'était sa mère et sa petite sœur qui étaient venus lui rendre visite. Ignorant l'appel, Démé n'y est pas allé, une semaine plus tard, le vingt-quatre décembre, Démé embarqua pour la France.  Pour lui, ce n'était pas l'émerveillement, mais une continuité de son existence qui se   déroulera ailleurs, loin de son île, sa terre et une grande partie de ses racines. À onze ans, on n'est pas complètement conscient de l'existence. On n'a pas de préférence et on doit se plier aux demandes et

Dans la vie d'un fermier. (première partie)

Le soleil venait de se lever, apportant une lumière douce et agréable à la basse-cour. Le coq chanta à pleine voix, réveillant ainsi le fermier. Sa botte enfilée, celui-ci descendit les quelques marches qui reliaient sa maison à son élevage. Poules, dindes, lapins et canards étaient tous debout attendant l\"homme qui leur apporte tout les jours leur petit déjeuner. Seau d\"eau dans une main et seau de nourriture dans l\"autre, le fermier se dirigea d\"abord vers les canards. Reconnaissant leur maître, les canards s\"approchèrent de la porte de leur enclos attendant impatiemment qu\"elle s\"ouvre toute comme la cachette d\"Ali baba. Dès que le fermier mit l\"eau et la nourriture avec les canards, ceux là se précipitèrent pour se gaver avant d\"aller se gambader dans l\"herbe. C\"est leur rituel quotidien. Leur amis les poules en font de même. Une fois avoir mangé la nourriture que leur a donné le fermier, ils allèrent picorer ç

La nature des reflets

Qu'est ce qu'un reflet? Un reflet est la réplique exacte d'une réalité, peu importe soit-elle. Le reflet d'un château dans un lac, le reflet d'un arbre dans une rivière ou encore, le reflet d'un enfant dans un bassin. Tout ces reflets sont des chosies de l'original. Ces reflets représentent une nature inconnu. C'est souvent lorsqu'on voit notre reflet que l'on se rend compte de ce que l'on est réelement. C'est là qu'on se rend compte de la vraie image que l'on projette. Pour certains, leur reflets mirent leur bonté, leur honnêteté et ce qu'ils sont en tant qu'humains et l'image est d'un calme phénoménal comme dans l'eau d'un lac.  Pour d'autres, leurs reflets sont flous, comme l'eau de la mer. L'image est détruite par les vagues. Cela voudrait-il dire que ces personnes là sont de nature sournoise ou tout simplement qu'ils ont peur de voir ce qu'ils sont réelement, ou que cel